n avons nous de devoirs qu envers autrui

Ensomme, le respect transcende le jugement. Il est le fruit de l’éducation qui conditionne son rapport avec l’autre. Le respect et le jugement sont intrinsèquement liés lorsque nous avons affaire à autrui, c’est-à-dire un être que je reconnais comme mon égal, mais qui est tout à fait différent de moi. 1 Nous devons obéissance à l’État. A. Le premier devoir du citoyen est d’obéir à la loi. On pourrait penser que ce que nous devons à l’État, c’est l’obéissance. C'est ce que dit Hobbes dans le Léviathan, en définissant le pacte qui est à l’origine de la formation de l’État comme un pacte entre les individus au profit Moncorps et moi - n'ai-je de devoirs qu'envers autrui ? (Broché) achat en ligne au meilleur prix sur E.Leclerc. Retrait gratuit dans + de 700 magasins (Broché) achat Detrès nombreux exemples de phrases traduites contenant "devoir envers autrui" – Dictionnaire anglais-français et moteur de recherche de traductions anglaises. Nousdevons veiller à la santé d'autrui; Devoir de bienveillance; Nous devons répandre la science que nous pouvons avoir De l'aumône Des devoirs de charité et des devoirs de justice Les devoirs de charité ne doivent jamais être en contradiction avec les devoirs de justice Des conflits qui se peuvent élever entre eux Lecture 67. Devoirs généraux de la vie sociale: 2e Site De Rencontre Avec Chat Gratuit. L'analyse du professeur Le devoir désigne l’obligation morale qui s’impose à un individu lorsqu’il agit. Cette obligation morale l’assigne à un devoir-être, c’est-à-dire l’enjoint à agir selon une fin qui ne dépend pas de son bon vouloir mais s’impose à sa volonté. Répondre à la question de savoir si nous n’avons de devoirs qu’envers autrui revient alors à poser la question générale de savoir comment se définit le devoir, et à la question plus particulière de comprendre quelle est la place d’autrui dans la définition du devoir. Or il peut semble de prime abord absurde de n’envisager le devoir que comme un rapport à autrui. En effet, on ne voit pas ce qui justifierait que l’obligation morale se borne à la personne d’autrui, qui n’est qu’un élément parmi d’autres dans le monde que nous avons à vivre. Cette évidence se heurte toutefois à une objection majeure, si l’on tâche de définir un peu plus précisément la façon dont nous avons conscience du devoir. Si devoir il y a, il est en effet évident que la règle morale qui s’impose à nous nous oblige vis-à-vis de ce qui n’est pas nous c’est d’ailleurs le sens littéral de ce que l’on doit ». Cette règle a donc pour propriété de limiter l’agir d’un individu en considération du respect qu’il doit à autre chose que lui-même. En ce sens, le devoir se justifie parce qu’il entend limite l’intérêt individuel pour protéger une chose aussi digne de valeur que cet intérêt. Il faut donc que la chose soit au moins aussi respectable que l’individu à qui s’impose le devoir. Où se trouve donc justifié le fait que le devoir n’est que devoir envers autrui, puisque seul autrui a une valeur comparable à la mienne. Le problème qui se pose alors est, plus fondamentalement, celui de savoir dans quelle mesure cette conception du devoir est authentiquement morale, puisqu’elle semble en fait purement utilitariste, en ne privilégiant comme critère de devoir que la valeur de chaque individu. ... Résumé du document Le devoir peut être considéré comme une obligation et doit être mis au profit de ma liberté. Ainsi, pourquoi avons-nous des devoirs envers autrui ? Autrui est une personne au même titre que moi, avec les mêmes besoins, les mêmes sentiments, la même liberté... Dès lors, si autrui dispose de la même liberté que moi, je me dois de le respecter comme je respecte ma liberté. Autrui est mon semblable, mon alter égo, et c'est l'une des raisons principales des devoirs que j'ai envers autrui ... Sommaire IntroductionI Des devoirs qu'envers autruiA. Autrui, mon semblableB. Les animauxC. L'homme en tant que lui-mêmeII Les devoirs envers soi-mêmeA. Des devoirs de personneB. Une sincérité envers moi-mêmeC. La recherche du bonheur est un devoirIII L'humanité est la cause du devoirA. Respecter l'humanitéB. Respecter nos ancêtresConclusion Extraits [...] Dissertation N'avons-nous de devoirs qu'envers autrui ? 1. Des devoirs qu'envers autrui A. Autrui, mon semblable Le devoir peut être considéré comme une obligation et doit être mis au profit de ma liberté. Ainsi, pourquoi avons-nous des devoirs envers autrui ? Autrui est une personne au même titre que moi, avec les mêmes besoins, les mêmes sentiments, la même liberté Dès lors, si autrui dispose de la même liberté que moi, je me dois de le respecter comme je respecte ma liberté. [...] [...] Nous nous devons de respecter l'humanité, cela est un fait. Ainsi, l'homme porte l'humanité en lui et le respect qu'il a de lui-même se porte à l'humanité entière. B. Respecter nos ancêtres Comme le dit les Dix commandements Tu respecteras, ton père, ta mère et tes ancêtres Nos ancêtres fait ce que nous sommes aujourd'hui. Ainsi, on doit s'intéresser aux actes de nos ancêtres et donc se cultiver sur les habitudes, leurs histoires Le devoir de connaissances sur nos ancêtres est important pour nous connaitre nous-mêmes. [...] [...] Certes, je suis libre de le maltraiter ou de me suicider mais je dispose d'une certaine morale qu'il faut mettre à profit dans certaine condition. Ainsi, les devoirs envers autrui concernent aussi ma propre personne. B. Une sincérité envers moi-même Dès lors, le devoir ne doit pas s'arrêter là. Je respecte autrui mais je me dois aussi d'être morale dans mes intentions. Ainsi, grâce à mes intentions morales, je suis apte à respecter autrui et moi-même comme il se doit. Comme le montre Kant, je me dois de me respecter et d'agir par devoir. [...] 403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID Sg89S0uE0iTcWQQ2gTIyjc4HrkBaSv2saPHLmZHPrcDoOqRCOVFhuA== N'avons-nous de devoirs qu'envers autrui ? I - L'ANALYSE ET LES DIFFICULTES DU SUJET Ce sujet, classique, est plus riche qu'il n'y paraît. Ne vous contentez pas des deux notions évidentes, de devoir et d'autrui. Partez de leur analyse, mais un traitement complet du sujet convoquera également les notions de sujet, conscience, morale, voire religion, histoire, vérité, vivant, liberté, politique. Plus largement, il fait appel à vos réflexions de citoyen, voire de citoyen du monde. Un devoir est ce que le sujet humain se sent obligé de faire, ce sans la réalisation de quoi le sujet se considérerait comme en dessous de lui-même. Le devoir est donc lié à une réflexion du sujet sur lui-même et son action, à sa volonté réfléchie par opposition au désir qui serait une volonté irréfléchie, une tendance spontanée, une pulsion vers un objet. Autrui, c'est un alter ego, un autre moi-même. Il est face à moi comme un objet, mais il se présente comme semblable à moi. De plus, il est singulier, je peux l'aimer ou le haïr, le désirer, vouloir le posséder. Il se distingue ainsi des autres en général, de la société. II - LA PROBLEMATIQUE La problématique découle de l'analyse. En effet, il semble évident que nous avons des devoirs envers autrui je peux le désirer comme un objet quelconque, mais la réflexion me pousse à le considérer comme un autre moi-même, comme un sujet libre et agissant, qui arrête mon désir aveugle et m'ouvre les yeux sur le monde qui m'entoure. Mais le sujet suggère que nous pourrions avoir des devoirs envers d'autres "choses". Mais lesquelles ? Des objets théoriques nous pensons aux autres en général, à la société, à l'Etat, voire aux animaux. Mais sur quels critères arrêter notre désir de possession si le regard d'autrui dans sa singularité ne nous arrête pas ? Des objets "pratiques", liés à notre réflexion sur notre action la liberté, la vérité supposent qu'on sacrifie certains de nos désirs pour être à la hauteur d'un idéal. Mais cet idéal n'est-il pas notre idéal ? Si autrui se distingue de moi, n'ai-je pas aussi des devoirs envers moi même ? III - LES PISTES DE REFLEXION Vous auriez pu penser à ● Le sujet humain se caractérise par une réflexion sur lui-même. Il est doué d'une subjectivité. "Je me pense", je suis donc à la fois sujet et objet de ma pensée. Le je et le moi introduisent l'altérité au coeur du sujet, et donc une série de questionnements suis-je à la hauteur de ce que je veux être ? Le je réfléchissant doit sacrifier certains désirs du moi pour atteindre un idéal du moi. Les notions d'effort, de travail sur soi introduisent la dimension de l'effort au coeur du rapport sur soi. ● La notion de devoir est donc liée à un ordre idéal que l'on essaye d'atteindre. Cela explique le respect de l'Etat, d'une religion, des institutions. Le sujet, à la réflexion, pense qu'il ne peut se réaliser qu'en respectant un ordre idéal. Il faut ici bien distinguer devoir et contrainte. On est contraint par force, on se sent obligé par un devoir. C'est une loi que l'on se fixe à soi-même auto-nomie, cf. Kant. Avoir un devoir envers autrui signifie que l'on a conscience qu'une vie humaine, pour autrui et pour soi, n'est possible que parmi d'autres hommes, parmi des semblables. Par le devoir, nous ne sommes plus "égocentriques", nous accédons au sens d'un monde qui nous dépasse et qui donne sens à notre existence. ● Par la notion de devoir, notre action s'inscrit au-delà de notre existence finie. D'où le respect du passé, de l'histoire nous respectons ce dont nous provenons. Pourquoi respecter ce qui n'est plus ? Nous inscrivons notre action dans un temps large qui lui donne sens. De même, respecter la nature, les animaux, est-ce en faire des personnes ? Est-ce les assimiler à autrui, réfléchissant et singulier ? N'est-ce pas plutôt penser aux générations humaines futures, donc inscrire notre action dans le temps ? Les devoirs rendus aux morts, le frein mis à notre désir de possession de la nature procèdent donc du respect de soi. IV - LES PISTES DE DEVELOPPEMENT A - Respecter autrui, c'est se respecter soi-meme Se sentir obligé envers autrui, c'est prendre conscience que notre existence ne prend sens qu'au milieu de semblables. Nous ne sommes rien sans autrui. B - Les devoirs envers soi-meme se traduisent par des devoirs envers des institutions qui incarnent un ordre donnant sens a notre existence Les devoirs envers l'Etat, la société, les institutions nous permettent d'inscrire notre action dans une réalité durable. C - En derniere instance, les devoirs nous ramenent au respect d'autrui Respect signifie étymologiquement regard. Le désir est aveugle. Le devoir consiste à arrêter le mouvement vertigineux pour considérer autrui. Autrui me regarde, je ne suis plus seul. Ma conscience me juge. Je ne suis plus d'un bloc. Conclusion "Je est un autre" Rimbaud. Le sens du devoir, voilà ce qui était en jeu dans ce sujet je ne suis humain que si j'accepte d'être regardé, et d'inscrire mon action dans un champ collectif. Je ne suis plus innocent. Je suis conscience de moi-même. -Dissertation pour le 18/12 N'avons-nous de devoirs qu'envers autrui ?- Si nous nous en tenons aux faits, on peut douter d'une conscience moral, car on se heurte a la méchanceté humaine. Pour vivre ensemble les hommes ont besoins d'une morale, et donc de devoirs. Mais l'homme ne fait ses devoirs que par intérêts. D'après Kant, il est possible d'accomplir son devoir, pour cela il faut distinguer l'être te le devoir être. Le devoir est un impératif catégorique qui impose à l'homme d'accomplir ce qui est prescrit en vertu d'une obligation qui peut-être religieuse, éthique, sociale, etc .... Faire son devoir c'est être libre. N'avons-nous de devoirs qu'envers autrui ? Nous verrons tout d'abord, les devoirs que nous avons pour nous même, puis les devoirs que nous avons envers autrui et enfin nous verrons les devoirs que nous avons envers la société. I-Devoirs envers nous même L'homme est libre, il s'appartient donc. Mais il a quand même des devoirs envers lui-même. Ce n'est pas parce que l'homme est libre qu'il a tout pouvoir sur lui. Il ne peut dégrader ni sa liberté ni son intelligence. Soumettre la liberté a la passion au lieu de l'accroitre avec le devoir, c'est compromettre ce qui mérite le respect. L'homme n'est pas une chose, il ne lui est donc pas permis de se traiter comme tel. Les devoirs envers moi-même ne sont pas des devoirs envers moi en temps qu'individu, mais envers ce qui fait de moi une personne morale l'intelligence, la liberté. L'individu est designer par toutes ses caractéristiques alors que la personne morale est représentative de l'humanité. L'homme peut donc laisser cour a ses gouts et a ses fantaisies, tant que le bien et le mal ne sont pas engager. Mais si un acte touche la personne morale, la liberté est alors soumise à la raison. Par exemple, si par caprice, ou par mélancolie, ou par tout autre motif, on se condamne à une abstinence trop prolongée, si on s'impose des insomnies continues, si on renonce absolument à tout pl... créer des dangers inutiles. La prudence est le gouvernement de la liberté par la raison. Par exemple si on traverse une route sans regarder, on se créer un danger inutile, on met sa vie en danger et on est négligent. La prudence aurait permis d’éviter ce danger. Nous avons le devoir de dire la vérité. Le mensonge est indigne, il faut donc être sincère et franc. Le corps est lié à l’esprit. Il ne faut pas lui refuser tout ce qu’il demande ni assouvir toute ces demandes. Car c’est affaiblir l’esprit à travers le corps. Par exemple donner une abondance de nourriture a son corps, peut compromettre la santé. Et ce n’est donc pas se respecter. Mais il ne suffi pas de maintenir la personne morale, il faut l’améliorer. L’homme doit développer sa volonté et s’exercé constamment. C’est par l’éducation de lui- même que l’homme est grand. L’homme doit donc se préoccuper de son intelligence en priorité. Car c’est l’intelligence qui nous permet de discerné le bien du mal, et la vérité du mensonge. On ne peut pas changer l’esprit qu’on a au départ mais on peut le fortifier, en l’exerçant. La paresse est nuisible a l’esprit il ne faut pas le laisser sans rien faire. Il faut aussi entrainer ca liberté, en résistant a ses tentations par exemple ou en ne fuyant pas aux luttes. C’est ce qui permet à notre liberté de grandir. Tant que l’homme conserve son intelligence et ses libertés, l’homme aura toujours la notion de bien et c’elle du devoir avec. L’homme a donc des devoirs envers lui-même, mais ce ne sont pas les seuls devoirs qu’il a. II-Devoirs envers autrui L’homme dépend toujours des autres hommes. C’est pourquoi le premier devoir est de ne pas faire de mal aux autres. Plus généralement, les devoirs visent à ce que chaque homme contribue autant qu’il le peut au bonheur d’autrui . Nous devons la vérité aux autres comme je me la dois à moi-même, car la vérité est la loi de la raison. La vérité est le bien propre de l’intelligence, et c’est donc un devoir de respecter le développement de l’esprit, de ne pas arrêter et même de favoriser sa marche vers la vérité. Nous devons aussi respecter la liberté d’autrui. Je n’ai pas le droit d’empêcher l’autre de faire une faute. La liberté est si sainte que, même lorsqu’elle s’éloigne du bon chemin, elle mérite encore d’être préservée. Nous devons respecter les affections des autres. Et de toutes les affections il n’y en a pas de plus saintes que celles de la famille. L’amour des hommes est quelque chose de bien général. La famille, c’est presque encore l’individu et ce n’est pas seulement l’individu elle ne nous demande que d’aimer autant que nous-mêmes ce qui est presque nous-mêmes. Elle attache les uns aux autres par des liens doux et puissants, le père, la mère, le frère, la sœur. Elle donne à ceux-ci un secours assuré dans l’amour de ses parents, à ceux-là un espoir, une joie, une vie nouvelle dans leurs enfants. Attenter au droit conjugal ou paternel, c’est attenter à la personne dans ce qu’elle a de plus précieux.. »

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